La mort, après
Paul Grantaire
ll n’a pas de nom. Il s’appelle tout simplement Personnage principal. PP pour les intimes.
Dans le célèbre jeu télévisé "Question pour du pognon", il rencontre son père biologique. À coup de parties de pétanque, les retrouvailles dans le manoir hanté paternel virent à la fête. C’est sans compter sur un cochonnet capricieux, et sur Murielle, la petite amie de PP, qui viendra perturber ce beau binôme avec son trafic de drogue et sa vie de psychopathe.
Avec cette épopée digne des meilleurs "Star Wars", Paul Grantaire emmène le lecteur au-delà du raisonnable, dans les quatre dimensions de l’espace-temps. Si le génie définit un homme un cran au-dessus de la folie, l’auteur de ces 12 500 pages en est un. Et un bon.
La presse en parle
Liberation
Un Grand Paul Tair Une fois encore Paul Grantaire nous oxygène les neurones. Il convoque, illustres et anonymes vivants, mourants et defunts dans son nouveau roman. « Et la Mort, apres ... » est bien une sorte de place publique de la littérature. Ils sont tous la, les grands personnages de la Blanche pas gênés de s'acoquiner, auteur de tables de jeu et de rails de coke, avec les obscurs de la série noir. Encore un livre décalqué de Paul Grantaire.
Le Parisien
A consommer sans moderation
Le JDD
Une grande bouffée d'air